Découvrez Balaruc-les-Bains, son passé antique, son histoire, son patrimoine...
Attachée à la valorisation et à l’animation de son patrimoine, des fouilles archéologiques sont régulièrement menées.
La Basilique Gallo-romaine
Le succès de Balaruc-les-Bains pour ses eaux thermales remonte jusqu’à l’antiquité. Cette basilique gallo-romaine, découverte dans les années 1980, qui témoigne de l’installation de la civilisation romaine.
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Le Pavillon Sévigné
Au centre de la ville, le Pavillon Sévigné (construit en 1753) fut le premier établissement thermal.
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La Chapelle Notre Dame d'Aix
La chapelle « Notre Dame des Eaux » date du 12ème siècle.
Ce monument est des plus caractéristiques de l'art des évêques de Maguelone.
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L’église Notre Dame de l’Assomption
L’Église Notre Dame de l’Assomption, construite dans les années 1850, relève d’une architecture néo-gothique.
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La Maison du Peuple
L’architecture Art déco caractérise le bâti qui date des années 1950.
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Village Vacances Familles « Les Rives de Thau »
L'architecture méditerranéenne sert de modèle pour la construction de cette structure hôtellière labellisée "Architecture contemporaine remarquable".
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Les murs peints
La ville de Balaruc-les-Bains a initié un programme de murs peints présentant des personnages illustres.
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La mémoire thermale
Balaruc-les-Bains et le thermalisme sont étroitement liés et ce depuis l'Antiquité. Une histoire qui a fortement marqué la commune et a façonné son identité. La mémoire collective balarucoise est aujourd'hui identifiée à cette mémoire thermale.
En 2015, suite au démantèlement des thermes Athéna, la Ville de Balaruc-les-Bains a missionné le collectif d'artistes Wako pour mettre en avant l’histoire et le savoir-faire thermal balarucois. Deux œuvres tangibles d’un patrimoine de scientifique et technique illustrant parfaitement l’histoire et le savoir-faire thermal balarucois, ont ainsi été installées dans l'espace public.
La Trémie
De 1969 à 1989, le personnel des thermes remplissait les malaxeurs manuellement, avec des pelles puis avec des sacs remplis de poudre de boue de 40kgs chacun. Pour l’année 1987, ils chargèrent 1350m3 de boue, c’est-à-dire 3000 tonnes.
L’arrivée de la trémie soulagea grandement la pénibilité du travail des hommes. Une vraie révolution.
En 1989, s’inspirant des Hespérides, une pompe avec une trémie est mise en place pour le remplissage des huit malaxeurs d’Athéna, alimentée en boue par le camion toupie qui remplissait aussi les silos des Hespérides.
La Fontaine aux Chariots
Elle est composée de 29 charrettes.
Ces charrettes qui amenaient la boue jusqu’à la cabine de soins, ont fait leur apparition dans les anciens thermes du Pavillon Sévigné, permettant d’abandonner les seaux remplis de boue.
La charrette n’a cessé d’évoluer au fil du temps, pour faciliter le travail des agents de soin.
Présente aux thermes Athéna, elle a disparu aux Hespérides au profit d’une vanne installée dans chaque cabine de boue, permettant le remplissage de la bassine directement dans la cabine.